vendredi 28 novembre 2014

Petits Parmentiers de panais aux protéines de soja


Cette recette est conçue pour faire 4 cassolettes individuelles – pour 4 personnes ayant un appétit  » normal »  ou bien 2 gourmands en plat unique ;)

Pour 2 à 4 personnes :
·         125g de protéines de soja fine
·         Environ 280g de pommes de terres
·         Environ 280g de panais
·         20cl de crème fraiche liquide allégée
·         environ 20cl de lait ( facultatif )
·         Environ 30g de parmesan râpé
·         Noix de muscade
·         Sel

Faites trempez les protéines de soja 15 mn. 
Pelez et couper les panais et les pommes de terres et les couper en morceaux. Les faire cuire dans un petit volume d’eau salée additionnée d’environ 20cl de lait  si vous en avez ( facultatif )
Préchauffez votre four à 200°
Dans une casserole, réchauffez doucement les cuisses de canard dans leur graisse. Lorsque le la graisse est fondue, sortir la viande, ( gardez la graisse dans la casserole! ) enlever les os, la peau et l’excès de gras et émettiez la chair ( avec les doigts, cela sera plus rapide )
Égouttez et disposez les protéines de soja au fond des cassolette et arrosez chacune d’entre elle d’une cuillère d'huile d'olive ou de noix..
Égouttez les  légumes et passez-les au presse-purée.  Ajoutez la crème fraiche, un peu de noix de muscade et salez légèrement Répartissez la purée dans les cassolettes et saupoudrez de parmesan.

Faites gratiner au four entre 15 et 20 minutes jusqu’à ce que la surface soit dorée.

mardi 25 novembre 2014

Mangez sain sans vous ruiner


Cher lecteur,

Alors que nos brillants économistes nous expliquent que nous bénéficions d'une remarquable stabilité des prix grâce à l'euro, beaucoup de citoyens européens ont une impression différente.

Qui se souvient d'avoir acheté des pêches à 40 francs le kilo ? 40 francs, ou 6 euros, c'est pourtant le prix que ceux d'entre nous qui en ont les moyens doivent payer, pour goûter à un de ces fruits devenus défendus. Et je ne parle pas des cerises à 65 francs le kilo (10 euros).

Bien entendu, ce sont des exemples. Des lecteurs de SNI seront sans doute parvenus à s'en procurer pour 4,50 euros le kilo « seulement ». Il n'empêche : cela représente 30 francs, un prix qui aurait été jugé scandaleux en 2001.

Et pourtant, la hausse prodigieuse des prix des produits alimentaires n'est pas une excuse pour mal vous nourrir.

D'abord parce que, si effectivement nous allons vers la catastrophe financière, une bonne santé sera le bien dont vous aurez le plus besoin. Ensuite parce que, quelle que soit l'évolution des prix, il est faux de prétendre que la malbouffe soit meilleur marché que la nourriture saine.

Le problème est que bien manger, comme bien écrire, bien chanter, ou bien parler, s'apprend. Et que dans ce domaine comme dans d'autres, une rupture de transmission s'est produite ces trente dernières années.

Alors voici comment mieux manger avec moins d'argent :

Consacrer du temps

En préparant vos menus à l'avance, vous achetez uniquement le nécessaire.

L'expérience montre qu'il coûte plus cher d'acheter un peu de tout pour improviser ensuite des repas, que de prévoir à l'avance ses repas puis d'acheter ce qu'il faut pour cuisiner. En préparant à l'avance des menus équilibrés, vous mangerez juste ce qu'il faut, et vous vous en porterez d'autant mieux. A noter qu'un repas bien préparé comporte des plats variés, et que l'on est ainsi plus vite rassasié.

Manger mieux, mais un peu moins

Des études chez les animaux ont montré que manger moins rallonge l'existence et diminue l'incidence des maladies, à partir du moment où vous avez votre dose quotidienne normale de vitamines et nutriments essentiels. Le Dr Richard Weindruch, du Centre de recherche national sur les primates du Wisconsin, a publié en 2009 les résultats d'une intéressante étude à ce sujet [1]. En 1989, il prit deux groupes de quinze macaques. Au premier, il donna une ration de nourriture réduite 30 % par rapport à la normale. Au second, il donna autant à manger qu'ils voulaient. En 1994, 46 autres macaques ont été répartis entre les deux groupes. Puis le Dr. Weindruch a comptabilisé les décès sur les années suivantes. Seuls 13 % des macaques ayant reçu peu de nourriture (restriction calorique) sont morts de maladies liées au vieillissement, contre 37 % de leurs congénères se nourrissant autant qu'ils le voulaient.

Il est probable que l'effet soit le même chez les humains. Manger un peu moins que d'habitude pourrait vous faire gagner des années de vie en bonne santé, en plus de vous faire économiser.

Réutiliser les restes

La quantité de nourriture jetée à la poubelle actuellement, sans autre raison que la négligence, la paresse et la désorganisation, est affligeante. On estime que près de 50 % de la production alimentaire mondiale est gaspillée, selon un rapport de la FAO, l'organe de l'ONU consacré à l'agriculture et à la nourriture.

Cela veut-il dire que les restes de votre gigot de dimanche midi peuvent vous servir de dîner du vendredi soir suivant ?

Je vais peut-être vous choquer mais le fait que de la nourriture devienne dure, change de couleur, qu'elle devienne gluante, ou même qu'elle sente mauvais, ne veut quasiment rien dire en terme de danger pour la santé.

Le goût peut ne pas vous plaire, mais ça ne veut pas dire que vous allez tomber malade. Ceci parce qu'il existe une grande différence entre les bactéries qui dégradent la nourriture, et celles qui sont pathogènes, c'est-à-dire causes potentielles de maladie.

Les bactéries qui font pourrir la nourriture forment un film gluant sur la viande, ramollissent les légumes, et donnent une très mauvaise odeur au poulet. Mais les bactéries pathogènes sont inodores, incolores, et invisibles.

Dans la mesure où vous ne pouvez pas compter sur votre vue ni sur votre odorat, utilisez la règle de 4 : pas plus de 4 jours à 4 °C.

A 4°C, vous pouvez conserver pendant trois jours entiers du poulet cru et du bœuf haché. Vos restes de nourriture cuisinés, eux, peuvent être conservés quatre jours.

Redécouvrez la soupe

Non, je ne parle pas d'acheter des briques de soupe au supermarché, ni même les soupes « bio ». Vous ne ferez aucune économie, et vous ne saurez jamais, au juste, ce qu'il y avait dedans.

Chaque fois que vous êtes en peine de faire un repas, souvenez-vous que virtuellement toutes les nourritures, tous les ingrédients, peuvent servir de base à fabriquer une soupe. Il suffit de les mettre à bouillir dans une casserole avec beaucoup d'eau, un oignon, une gousse d'ail, une carotte, quelques herbes, du sel et du poivre.

Si vous n'avez qu'un seul légume sous la main (quelques carottes rabougries, un vieux chou-fleur), cela suffit pour faire un potage bon au goût et bon pour votre santé. N'ouvrez pas de paquet de chips. Ne commandez pas de pizza. S'il vous reste un quignon de pain que vous pouvez réduire en petit morceaux et faire revenir dans de l'huile d'olive avec de l'ail et du sel dans une poêle, faites-vous des croutons.

Si la soupe est trop claire, une poignée de riz l'épaissira.

Mangez du chou

Jusqu'à la découverte de l'Amérique, nos aïeuls n'avaient ni haricots, ni maïs, ni tomates. Et la pomme de terre n'est arrivée en Europe qu'à la fin du XVIIIe siècle.

Le chou, sous toutes ses formes, tenait une place de choix dans leur alimentation.

Aujourd'hui, le chou est passé de mode. Peu de jeunes ménages en consomment.

C'est dommage.

Il existe une grande diversité de choux, et un nombre prodigieux de délicieuses recettes pour les préparer, de la choucroute à la salade de chou râpé, en passant par le chou farci, le chou braisé et la soupe au chou.

Le chou est bon marché en toute saison. Il a de grandes vertus détoxifiantes et chélatrices (se lie aux métaux lourds pour les évacuer de votre corps). Il est bourré de nutriments : vitamine A, C et E anti-oxydantes qui freinent le vieillissement cellulaire, fibres, potassium et souffre.

Des études récentes ont démontré que le chou a des vertus anti-cancéreuses grâce à son souffre et ses anti-oxydants. Le brocoli freine le cancer de la prostate.

Vous trouverez sur marmiton.org des centaines de recettes à base de chou. N'oubliez pas le chou de Bruxelles, le chou chinois, le brocoli et toutes les sortes de chou blanc, vert, rouge, frisé ou pommelé.

Mangez des légumineuses

Tout comme le chou, redécouvrez les lentilles, les haricots secs ou demi-secs, les fèves et les pois sous toutes leurs formes. Les légumineuses ne coûtent pas cher et font de délicieux potages, purées, peuvent se manger chaudes ou froides en salades. Il en existe assez de variétés pour en manger une fois par jour sans jamais se lasser, et elles peuvent parfaitement vous servir de plat principal, sans accompagnement.

Un exemple rapide : ouvrez une boite de conserve de petits pois (inutile qu'ils soient « extra fins »), versez la dans une casserole, avec le jus, et faites chauffer. Il vous suffit ensuite de mixer, saler, poivrer, et ajouter une cuillerée de crème fraîche non-allégée, pour faire un délicieux potage.

Limitez votre consommation de viande

Réservez la viande rouge (si vous en mangez) et les grosses pièces de viande pour les grandes occasions.

Le reste du temps, les légumes cités précédemment feront une excellente base de repas, et vous pourrez manger végétarien sans y penser. Quelques lardons, ou un bout de saucisse fumée suffisent à accompagner ces plats, si c'est indispensable pour vous. Pour varier les goûts, redécouvrez les épices et les herbes aromatiques, à commencer par les plus simples et les plus courantes : ail, cerfeuil, noix de muscade, laurier, cumin...

Choisissez vos poissons

Le poisson est très bon pour la santé, et il serait très dommage de s'en priver. Néanmoins, rien ne vous oblige à donner dans la lotte, le bar ou la sole, devenues hors de prix. Les petits poissons gras de mers froides sont bien moins chers, vous pouvez les acheter en conserve, et d'un point de vue nutritionnel, ce sont de toute façon les meilleurs grâce à leur forte teneur en oméga-3 et leur faible intoxication au mercure.

Les œufs

Enfin, l'aliment parfait pour les petits budgets : l'œuf.

Victime d'une épouvantable erreur judiciaire dans les années 90, lorsque des chercheurs accusèrent injustement son jaune (le meilleur !!) de faire monter le taux de cholestérol, l'oeuf a été totalement blanchi ces dernières années, en particulier grâce à une étude de l'Université de Yale. (2)

Nous savons maintenant que deux œufs par jour n'ont aucun effet négatif sur le cholestérol, pour les personnes en bonne santé. Bien entendu, si vous suivez un régime particulier, prescrit par un médecin, ne changez rien sans l'avoir consulté.

Sinon, vous n'avez aucune raison de vous priver de cette délicieuse source de protéines de haute qualité, nourrissante, facilement digérable, et très bon marché. Car même en magasin bio, vous aurez du mal à trouver des œufs, même enrichis aux oméga-3, à plus de 25 cts l'unité.

A votre santé,

Jean-Marc Dupuis  

Paté a l'Ail

Paté a l'Ail

Bon sur le pain, garniture de sandwich, en entrée simplement ou avec confit d'oignon ou avec la moutarde forte ou les olives et ou le fromage.
Se congèle bien.

Pour 4 à 6 personnes


Ø  1 tasse de graines de tournesol non salées grillées.
Ø  ½ tasse de farine de blé entier.
Ø  ½ tasse de levure Alimentaire (levure maltée).
Ø  6 oignons verts hachés.
Ø  14 gousses d'ail écrasées
Ø  1 Pomme de terre moyenne, pelée, râpée.
Ø  ½ tasse de beurre, fondu.
Ø  1 Tasse de bouillon de légumes.
Ø  ½ tasse d'eau chaude.
Ø  2 cuillères a café d'herbe de Provence.
Ø  Sel, Poivre.

Préchauffer le four a 250°C
Eplucher et râper la pomme de terre
Mélanger tous les ingrédients (Sauf la pomme de terre) dans un bol à mixer
Mixer finement.  
Mélanger la pomme de terre à la mixture.
Beurrer une terrine et la remplir
Enfourner  1 heure à 250°C
Laisser refroidir. Bien froid se coupe plus facilement.

Bon appétit

Patrick

Gratin de pommes de terre et poireaux à la crème de St Agur


Ingrédients pour 4 personnes

 5 grosses pommes de terre
3 poireaux
4 feuilles de sauge
1 branche de romarin
3 branches de thym
1 petit bouquet de persil plat
1 c à s d'épices pour pommes de terre 
ou 
ail, curry, piment, échalote, persil, poivre, muscade, thym, sel
1 morceau de beurre + 1 pour beurre le plat
1 pot de crème de St Agur
3 c à s de crème fraîche
200ml de lait oublié sur la photo
Sel et poivre 
Laver et couper finement les poireaux, peler, et couper les pommes de terre à la mandoline. Mélanger la crème et le St Agur
  Faire suer les poireaux salés et poivrés dans une poêle avec un morceau de beurre, mélanger régulièrement jusqu'à ce qu'ils changent de couleur. Beurrer un plat à gratin, déposer au fond 1/3 des pommes de terre, ajouter dessus 1/3 des herbes que vous aurez lavées et ciselées finement, saler et poivrer parsemer d'un peu d'épices pour pommes de terre 
   Ajouter dessus la moitié des poireaux, 1/3 du mélange crème/St Agur et remettre la moitié des pommes de terre restantes, saler et poivrer, ajouter des épices et la moitié des herbes. Verser le reste des poireaux, la moitié du reste St Agur/crème
  Terminer par les pommes de terre et le reste des ingrédients saler et poivrer, parsemer d'épices et ajouter le lait. Enfourner 45minutes à 220° environ selon les fours, surveiller la cuisson et la coloration
Pour récapituler 3 couches de pommes de terre intercalées de deux couches de poireaux

LASAGNE BLETTES CAROTTES



·         1 botte de blettes ou bettes (moi, je dis blette !),
·         6 carottes (des petites, pas les mastodontes vendues en sachet, hein ;-),
·         3 courgettes,
·         2 oignons violets,
·         1 boîte de champignons de Paris
·         Des plaques de pâtes à lasagne,
Une boite de tomates concasées soit vous pouvez le faire mais là, les tomates, niveau saison, on y est pas encore, donc j’ai préféré me rabattre sur des tomates pelées en conserve bio (une grosse boîte, ajouter un sucre pour réduire l’acidité !).
Pelez et lavez les légumes, les détaillez pas trop gros, surtout pour les carottes et les blettes. Gardez le vert de blette. Faire cuire vos blettes une vingtaine de minutes à la vapeur. Et cuire à part à l’étouffée dans  4 cuillères à soupe d’huile d’olive votre oignon, les carottes, les courgettes et les champignons, à feu doux pendant 20 minutes. Ajoutez votre coulis de tomates ou vos tomates pelées. Laissez encore cuire à feu très doux 15 minutes et assaisonner à votre goût (sel, poivre, coriandre et un sucre si la tomate est trop acide).
Préparer une béchamelle avec :
·         60 gr de beurre,
·         3 grosses cuillères à soupe de farine,
·         3/4 de litre de lait,
·         Sel, poivre et noix de muscade.NB : à la place de la béchamelle, on peut tout à fait utiliser de la ricotta, en prévoir alors un gros pot, vendu généralement dans les épiceries italiennes.
Faire fondre le beurre dans votre casserole à feu doux. Lorsque le beurre est complètement fondu, baisser le feu et ajoutez la farine cuillère par cuillère et remuer doucement du hors du feu pour éviter les grumeaux. Ajoutez petit à petit le lait légèrement tiédi. Au final, votre béchamelle doit être onctueuse et légèrement liquide. Poivrez et salez et ajoutez quelques grammes de noix de muscade.
Dressez vos lasagnes en alternant légumes + béchamelle et plaques de pâte à lasagne dans un plat carré ou rectangulaire prélablement beurré.

Une fois en haut du plat, saupoudrez de fromage (pécorino ou parmesan) et enfourner dans un four chaud (175 degrés) pour 20 minutes !

Comme un foie gras, mais végétal


Pour les fêtes de fin d’année, l’une des traditions de notre douce France, est de mettre du foie gras au menu. A chacun ses convictions et chez Webecologie, nous sommes des gourmands et aimons satisfaire votre gourmandise, mais sans souffrance animale !
Afin de contenter tout le monde à votre table, nous vous proposons une recette de »foie gras végétal« .
Ce faux foie gras végétal est proche de la consistance du vrai foie gras, la couleur s’en approche, et le goût n’est pas loin non plus. Nous dirons même qu’il est plus léger, et surtout il ne laisse pas un goût de gras dans la bouche. Son parfum est presque celui du foie gras. Nous avons fait goûter autour de nous. Les inconditionnels du vrai foie gras vous diront que ce n’est pas du foie gras, certes, mais si vous souhaitez mettre en fête votre table en essayant de satisfaire tout le monde, testez donc cette recette, c’est surprenant !  Amusez vous à bluffer votre entourage, et chez nos testeurs, nombreux sont ceux qui ont préféré le foie gras végétal…

 1 bloc de tofu tendre
- 1 échalote
- 1 c à s de margarine
- 1/2 litre de vin liquoreux
- 1 sachet de 2 grammes d’agar agar
- 1 c à c bombée de miso de riz
- 2 c à s de levure de bière
- 1/2 c à c de curcuma en poudre
- sel, poivre
- la pointe d’un couteau de piment d’Espelette (facultatif)
Faire fondre à feu doux l’échalote détaillée très finement dans la margarine jjusqu’àce que l’échalote devienne translucide. Il faut vraiment qu’elle soit très fondante.
Dans un bol, dissoudre l’agar agar et le curcuma avec un peu de vin.
Faire chauffer le reste du vin dans une casserole, quand le vin commence à bouillir, rajouter le contenu du bol et porter le tout à ébullition fouettez ce mélange sans interruption pendant environ deux minutes. Saler, poivrer, rajouter le piment d’Espelette.
Couper le tofu en cubes, le déposer dans un blender, rajouter le contenu de la casserole et mixer longuement.
Verser dans des cocottes et mettre au frais toute la nuit.
Dégustez et donnez nous en des nouvelles si vous le souhaitez !!!


Pruneaux au vin rouge


Ingrédients pour 4 personnes

·         500 g de pruneaux d'Agen
·         100 g de raisins de Smyrne
·         100 g de sucre (rectifié origine 200g)
·         2 bâtons de cannelle
·         le zeste de 1 orange
·         1 bouteille de vin rouge
·         1/2 litre d'eau

 

PRÉPARATION
1.   Dans une casserole, mettez les pruneaux dénoyautés avec les raisins, la moitié du sucre, la cannelle, le zeste d'orange, le vin et l'eau.
2.   Laissez cuire à couvert, doucement, pendant 45 mn partir de l'ébullition. 
    30mn à découvert.
3.   Retirez la cannelle, laissez refroidir.
4.   Servez frais.
5.   La quantité de sucre dépend du goût de chacun.
6.   Si vous aimez les desserts peu sucrés, il n'est pas nécessaire de mettre la totalité indiquée.

7.   Vous pouvez remplacer le parfum de cannelle par de la vanille en poudre.

Chutney de chou rouge


Nous sommes en pleine saison des choux ; voici une petite recette qui les accommode de façon différente ; surprenant mais c'est le moment des fêtes et à oser en cette période, par exemple à servir lors de l'apéritif en verrines :

Ingrédients pour 4 personnes :
-  200 gr de chou rouge
-  60 gr de sucre
-  1 petite poignée de raisins secs
-  7 cl de vinaigre de cidre
-  1càs de miel
-  1cm de gingembre
-  1 doigt de moutarde
-  noix de muscade
Préparation :
-  hacher le gingembre
-  faire revenir les épices dans l'huile
-  ajouter le chou, les raisins, le sucre

-  baisser le feu et laisser mijoter durant environ 1h à 1h30 en remuant régulièrement

Crêpes au lait de noisette et sirop d’érable



Pour 15 crêpes :
·         200g de farine
·         2 oeufs
·         2 cs de sucre
·         Lait de noisette
·         1- Versez la farine, le sucre et les œufs dans un saladier.
·         2- Commencez à fouettez puis commencer à versez le lait petit à petit tout en fouettant énergiquement pour éviter les grumeaux.
·         3- Laissez reposer 1h minimum au réfrigérateur.
·         4- Remuez de nouveau la pâte, il se peut qu’elle ait épaissi, ajoutez dans ce cas un peu de lait.

·         5- Faites cuire les crêpes (Je verse un peu d’huile d’olive dans une sauteuse bien chaude, je l’étale avec du Papier absorbant pour enlever l’excédent de gras et je verse ma pâte).